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Fédération des Fonctions Publiques-CGC

15-17, rue Beccaria

 – 75012 PARIS –

Métros :

Gare de Lyon/Faidherbe Chaligny/ Ledru Rollin 

Tél  :  01.44.70.65.90

Fax :  01.44.70.65.99

Mail : ufcfp.cgca twanadoo.fr

14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 11:19



http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20080514&numTexte=1&pageDebut=&pageFin=


au J.O
L' Arrêté du 9 avril 2008 fixant la date et les modalités d'organisation des élections pour le renouvellement des représentants des communes au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale

Le vote : au plus tard le mardi 18 novembre 2008

Les listes de candidats doivent comporter :
a) Pour les représentants des communes de moins de 20 000 habitants : quatorze noms de titulaires auxquels correspondent pour chacun deux noms de suppléants ;
b) Pour les représentants des communes de 20 000 habitants et plus : quatorze noms de titulaires auxquels correspondent pour chacun deux noms de suppléants.

Les listes de candidats sont adressées, sous pli recommandé avec accusé de réception, ou déposées par le candidat tête de liste ou son mandataire dûment désigné au ministère de l’intérieur (direction générale des collectivités locales) le mercredi 1

er octobre 2008, à 17 heures au plus tard.

Le dépôt donne lieu à un récépissé par le ministère.

Les listes de candidats sont adressées aux préfectures par le ministère de l’intérieur au plus tard le mardi 7 octobre 2008.

Les listes de candidats font l’objet d’une publicité par voie d’affichage dans les préfectures et souspréfectures le mardi 14 octobre 2008 au plus tard

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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 11:13

§        Le CNGA rappelle son attachement à la qualité du service public et à son caractère national.

 

§        Il s’alarme des suppressions à l’aveugle du nombre de postes :

         -  qui menacent certains enseignements,

         -  qui risquent d’opposer les collègues qui accepteront de faire des HSA et ceux qui ne le pourront pas.

 

§      Il rappelle dans les faits que les ATOSS sont exclus du paiement des heures supplémentaires.

 

§      Il s’indigne du refus gouvernemental de revaloriser le point d’indice, ce qui ne peut que démotiver des personnels mal considérés.

                                                                                                 

Le CNGA encourage donc ses adhérents à se joindre à la manifestation du dimanche 18 mai pour demander au gouvernement d’engager d’urgence des négociations avec les syndicats des personnels.

 

Conseil National des Groupes Académiques de l’enseignement public

Fonctions Publiques CGC

63 rue du Rocher - 75008 Paris  - Tel 01 55 30 13 46  -  FAX  01 55 30 13 48

www.cnga.fr                                                                        cnga@cnga.fr

 

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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 08:42
AVIS
Avis de vacance de l'emploi d'adjoint aux publications de l'Ecole française d'Athènes

NOR: ESRH0809820V



L'emploi d'adjoint aux publications de l'Ecole française d'Athènes est vacant à compter du 1er septembre 2008.
La nomination sur cet emploi se fait par voie de détachement pour une durée de quatre ans renouvelable une fois.
Peuvent être candidats à cet emploi :
a) Les personnes ayant soutenu une thèse de doctorat ès lettres ou les personnels agrégés de l'enseignement secondaire ;
b) Les personnels de recherche et de formation (ingénieur de recherche) possédant une expérience dans le domaine de la fabrication et la publication d'ouvrages scientifiques ;
c) Des personnes non fonctionnaires.
Le candidat nommé percevra un traitement correspondant à son indice s'il est fonctionnaire, ou par équivalence avec le grade de professeur agrégé s'il ne l'est pas. Il percevra également une indemnité de résidence (groupe 17) et, le cas échéant, un supplément familial et des majorations familiales.
Nommé par le ministre chargé de l'enseignement supérieur sur proposition du directeur de l'école, l'adjoint aux publications est responsable d'un service comprenant deux agents (une assistante administrative et une secrétaire de rédaction) ; il travaille en étroite collaboration avec le responsable de la PAO. Placé directement sous l'autorité du directeur, il met en œuvre la politique de publication décidée avec l'appui du conseil scientifique de l'établissement. Il assure le suivi des publications depuis la réception des manuscrits jusqu'à leur impression et leur diffusion. Il établit les contacts avec les auteurs pendant la phase de fabrication des livres, contrôle les relectures d'épreuves et assure la liaison avec l'imprimeur. Il est responsable de la gestion du stock des publications.
Les critères de sélection privilégiés sont les suivants :
― culture générale et solides connaissances dans les domaines scientifiques correspondant aux missions de l'école et à la politique scientifique actuelle de l'institution (archéologie, histoire ancienne, moderne et contemporaine, sciences sociales) et dans les domaines géographiques concernés (Grèce, Balkans, île de Chypre) ;
connaissance éminemment souhaitable du grec ancien et du grec moderne, ainsi que de plusieurs langues vivantes ;
― expérience dans le domaine de l'édition scientifique, des sciences humaines et sociales, notamment pour la gestion (marchés publics, stocks), la rédaction, la diffusion ;
― expérience dans le domaine de l'édition électronique.
Les candidats devront envoyer leur candidature dans un délai de trente jours à compter de la présente déclaration de vacance au Journal officiel de la République française (le cachet de la poste faisant foi). Leur dossier comprendra :
― la lettre de candidature ;
― le curriculum vitae détaillé ;
― le dernier arrêté de promotion dans le corps d'origine ;
― le cas échéant, la liste des titres et travaux correspondant aux domaines scientifiques.
Le dossier de candidature devra être adressé, sous pli recommandé, à l'adresse suivante : ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, direction générale des ressources humaines (service des personnels enseignants de l'enseignement supérieur et de la recherche, sous-direction des études de gestion prévisionnelle, statutaires et des affaires communes, bureau des affaires communes, de la contractualisation et des études, DGRH A1-3), 32-34, rue de Châteaudun, 75436 Paris Cedex 09.
Une copie du dossier de candidature devra être envoyée au directeur de l'Ecole française d'Athènes, 6, rue Didotou, 10680 Athènes (Grèce).

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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 11:57


Si vous voulez en savoir plus sur le cumul et la retraite :

http://urcentrecfecgc.over-blog.com/pages/Retraite_et_cumul_dactivites_remunerees-496346.html

en plus de notre page - une des plus lues du blog -

http://site.voila.fr/doccfecgcfp/retraiteRapport.pdf

bonne lecture
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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 10:01

3 juin Assemblées générales le 3 juin  à PARIS, du SNAT CGC, SYNATEMESO CGC, SNTT CGC.

Vous allez recevoir divers documents de la part de vos syndicats.

VOUS SOUHAITEZ VOUS INVESTIR DANS LES INSTANCES DIRIGEANTES DE VOTRE SYNDICAT ?

Dès maintenant, n’hésitez pas . prendre attache auprès de leurs responsables pour poser vos candidatures, pour candidater à un mandat à son Conseil d’Administration

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 12:58

Suivant le mouvement lancé dans le privé, le secrétaire d'État à la Fonction publique propose un accord qui bouleverserait les règles du jeu syndical.

» DOCUMENT - Le relevé de conclusions transmis aux syndicats (pdf)

La négociation avec le secrétaire d'État André Santini s'est terminée vers 4 heures du matin mercredi à Bercy, presque quatorze heures après avoir débuté. A l'issue de la séance, les syndicats de fonctionnaires ont reçu un «relevé de conclusions». Ils ont jusqu'au 23 mai pour décider de signer ou non ce texte «historique, qui introduit enfin une vraie démocratie sociale dans la fonction publique», s'enthousiasme l'entourage du ministre.

Il s'agit de revoir totalement les règles du jeu syndical, dans la logique de ce qui est lancé dans le privé. Le gouvernement propose que les syndicats «représentatifs», c'est-à-dire habilités à négocier des accords, soient ceux qui recueillent le plus de suffrages aux élections professionnelles. Les poids lourds (CGT, FSU…) ne demandent que ça. Une étape transitoire permettra, jusque 2013 au moins, de ne faire aucun «mort» parmi les petits syndicats (un geste vers la CFTC et la CGC). A cette échéance, Bercy veut des élections simultanées dans toutes les instances des trois fonctions publiques (État, hôpitaux, collectivités locales), à la fois pour consacrer leur importance… et pour mettre fin aux campagnes électorales permanentes. Tous les agents voteront, contractuels inclus.

En 2013 aussi, seuls les accords signés par des syndicats représentant une majorité d'agents seraient appliqués. D'ici là, deux syndicats recueillant 20% des suffrages, et la «non-opposition» des organisations majoritaires, suffiront. Un bouleversement puisque, jusqu'ici, en l'absence d'accord, l'État décide unilatéralement, la plupart du temps sans «reprendre» les concessions accordées en cours de négociation. Les syndicats sont donc plus incités à la surenchère qu'au compromis!

Pour tenter de faire approuver ces changements, André Santini a renoncé à des points majeurs. Les syndicats de fonctionnaires ne devront finalement pas se débrouiller avec une enveloppe financière globale remplaçant les formes de soutien plus ou moins opaques que l'administration leur accorde (décharge de personnel, de locaux, prise en charge de certains frais…). Un simple «bilan contradictoire» de ces aides sera réalisé, pour trier celles qui sont tolérables ou non. Par ailleurs, un volet faisant bondir tous les syndicats a été sorti du périmètre de l'accord. Le gouvernement voulait mettre fin à la véritable cogestion administration-syndicat des carrières des agents, en cantonnant à un rôle d'appel certaines commissions, dites «CAP» (ces instances, où les syndicats détiennent la moitié des voix, se prononcent actuellement sur toute évolution de carrière; elles sont en théorie consultatives mais dans les faits leurs décisions sont presque toujours suivies par la hiérarchie). Bercy assure ne pas abandonner cet objectif mais, en ne le soumettant pas à signature, évite de braquer ses interlocuteurs.

Combien ces concessions permettront-elles d'obtenir de signatures, parmi les 8 organisations de la fonction publique? Tout en couvrant de louanges les syndicats pour leur «attitude constructive» pendant la négociation, le gouvernement se montre prudent. Il reconnaît qu'il lui serait politiquement difficile, si l'accord était largement ratifié, d'appliquer tel quel le volet «CAP» - il mettrait donc sans doute de l'eau dans son vin. A l'inverse, en cas de rejet en bloc du texte, il fait comprendre que ces concessions pourraient être revues. Ce «je te tiens, tu me tiens par la barbichette», durera donc deux semaines. D'ici là, des éléments extérieurs peuvent aussi peser sur la réflexion syndicale. Entre autres, la grève des enseignants, jeudi, et les manifestations sur les retraites, le 22.

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 09:19

Le ministre de la défense a présenté un décret portant suppression du comité interministériel pour les restructurations de défense et du délégué interministériel aux restructurations de défense.

Le pilotage des opérations de restructuration sera assuré par l’administration du ministère de la défense, qui préparera et suivra également les mesures d’accompagnement économique et social.

La coordination de l’action des ministères concernés par les restructurations de défense sera prise en charge par la délégation interministérielle à l’aménagement et à la compétitivité des territoires.

Le Mardi 29 avril, Le Ministre de la Défense était en entretien avec les préfets de régions.

"La réorganisation du ministère est un moyen de modifier les schémas dépassés hérités de la Guerre froide, a précisé le ministre. La réforme prévoit, notamment, la création d’un service interarmées (air, terre et mer) de soutien doté d’un budget unique et placé sous la seule autorité de l’état-major des armées (EMA). L’EMA va ainsi coordonner les services chargés de l’alimentation, de l’habillement, des ressources humaines ou encore de la santé.../... les départs en retraite ne seront pas remplacés. Quelque 6 000 postes civils et militaires par an sur une période de six à sept ans seront ainsi supprimés.

Le livre blanc sur la Defense :
http://www.premier-ministre.gouv.fr/IMG/pdf/Livre_blanc_1994-2003_1.pdf

 

 

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11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 22:01



Une journée nationale interprofessionnelle d’action et de manifestations "pour la défense de la retraite solidaire". Les cinq centrales syndicales (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) ont choisi le 22 mai pour protester contre le "blocage gouvernemental", notamment sur l’allongement de la durée de cotisation à 41 années.

 

Deux jours de négociations n’y ont rien fait. Syndicats et gouvernement sont toujours en total désaccord sur le dossier de la réforme des retraites. Les cinq confédérations - CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC - ont donc décidé de se réunir ce soir, pour décider de la suite. Après deux heures d’entretiens, les responsables ont annoncé une journée d’action.

En plus du 1er mai, les salariés sont donc appelés à manifester le 22 mai prochain "pour la défense de la retraite solidaire". Dans un communiqué commun, les syndicats dénoncent "le blocage gouvernemental sur [leurs] principales propositions".

L’emploi des seniors au coeur du débat

La pomme de discorde, c’est toujours l’allongement de la durée de cotisation à 41 années, programmée pour 2012 par le ministre du Travail. La CGT et FO y sont totalement opposés alors que les autres syndicats estiment que cet allongement doit être différé tant que le taux d’emploi des seniors, très inférieur à la moyenne européenne, ne s’améliore pas.

Mais cet allongement est non négociable, a prévenu Xavier Bertrand. Dans un document de travail remis aux syndicats, il envisage cependant d’instaurer à compter de 2010 une cotisation supplémentaire aux entreprises n’ayant pas conclu d’accord sur l’emploi des seniors avec les syndicats.

Les syndicats demandent également des garanties sur "le niveau des retraites", le "maintien du droit à la retraite à 60 ans" ou encore la "reconnaissance de la pénibilité" de certains emplois.

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10 mai 2008 6 10 /05 /mai /2008 09:45

Article de la Tribune de décembre dernier :

Le 1er janvier 2010, le plus célèbre des régimes de retraite volontaire de la fonction publique, Préfon, perdra une de ses particularités : ses adhérents pourront transporter l'épargne accumulée auprès d'un autre régime, comme le Perp par exemple.

Jusqu'ici, les adhésions n'étaient pas transférables et seule la rente viagère était autorisée en sortie. L'ouverture pourrait donner un bol d'air aux adhérents, qui assistent à la quasi-absence d'évolution de leurs droits à retraite. Ils ont été revalorisés de 1,5 % cette année après avoir fait du sur-place en 2006. Sur les cinq dernières années, la hausse s'est limitée à 5,6 %.

Même si ce taux ne peut être comparé à celui d'un placement, c'est un résultat décevant. Préfon souffre de l'allongement de la durée de vie de ses rentiers, parmi lesquels de nombreuses retraitées de l'Éducation nationale, qui affichent la plus forte longévité. Obligé de payer ses rentes plus longtemps, le régime connaît une situation technique tendue.

Pour montrer qu'il tient son cap, Préfon a déjà fixé son taux de revalorisation des rentes pour 2008 : ce sera 1,35 %. Pas de quoi faire rêver...

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10 mai 2008 6 10 /05 /mai /2008 09:39


Pas de réforme « brutale »


Yves Jégo, secrétaire d’Etat à l’Outre-mer, a cependant assuré lundi que l’application de la réforme supprimant les suppléments de pensions des fonctionnaires retraités en Outre-mer ne se ferait pas de façon "brutale" pour ne pas pénaliser les "retraités modestes" et ceux originaires de ces territoires.
Il faut que cette réforme "ne pénalise pas les originaires d’Outre-mer qui sont fonctionnaires, qui peuvent avoir travaillé toute leur vie dans cette perspective-là et pour lesquels il faut trouver un moyen de ne pas mettre en cause cet avantage", a déclaré le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer.

"Il faut qu’on explique aux fonctionnaires que ceux qui bénéficient aujourd’hui de ce dispositif ne vont pas s’en voir privés comme ça brutalement. C’est une réforme qui va jouer pour l’avenir, pour les générations qui Viennent", a-t-il insisté. "Cela veut dire que ceux qui sont en poste aujourd’hui, en tout cas pour les petites retraites, ne sont pas concernés par le dispositif", a-t-il dit, indiquant que l’objectif était de "mettre en place une gestion vertueuse des retraites en Outre-mer, pour l’avenir".
L’application de cette réforme "ne doit être ni brutale ni incompréhensible et moi j’ai à coeur d’avoir le souci des retraités modestes qui ne doivent pas payer pour le compte des gros retraités qui, eux, bénéficient du système", a précisé M. Jégo.

 

Réaction : recul "sans discernement" des pensions (Patrick Lebreton, PS)

 

Le député de La Réunion, Patrick Lebreton (PS), a critiqué vendredi l’annonce par Nicolas Sarkozy de la suppression progressive "sans discernement" du supplément de pension accordé aux fonctionnaires qui s’installent dans les territoires d’Outre-mer (TOM) pour leur retraite. "Il convient que cette suppression n’affecte pas le niveau de pension des Réunionnais" et se limite aux fonctionnaires de la métropole "ne profitant que de l’effet d’aubaine" de ce supplément de pension, a affirmé l’élu dans un communiqué.
Concédant l’existence "d’abus" au sein de ce dispositif qui rehausse de 35% à 75% les pensions des retraités installés dans les TOM, quand bien même ils n’y ont peu ou pas travaillé, M. Lebreton s’est alarmé du risque de "détourner" de l’économie de l’Outre-mer "des capitaux destinés soit à l’investissement, soit à la consommation". De façon plus générale, il a regretté la "coupe budgétaire faite par le président Sarkozy pour régler la douloureuse facture du paquet fiscal", dont il a évalué le manque à gagner pour l’Etat à "100 milliards d’euros sur cinq ans".


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