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Fédération des Fonctions Publiques-CGC

15-17, rue Beccaria

 – 75012 PARIS –

Métros :

Gare de Lyon/Faidherbe Chaligny/ Ledru Rollin 

Tél  :  01.44.70.65.90

Fax :  01.44.70.65.99

Mail : ufcfp.cgca twanadoo.fr

26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 22:26
LLe Président de la République s’est engagé, au début de son mandat, à moderniser l’Etat et à l’adapter aux besoins actuels des français. Il a décidé de s’impliquer personnellement sur ce dossier emblématique. Cette réforme se traduira par de nombreuses initiatives mises en oeuvre sur les trois prochaines années. Elle porte le nom de révision générale des politiques publiques (RGPP).

Déjà plusieurs chantiers majeurs ont été engagés. Ainsi, la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), a permis de moderniser en profondeur notre gestion budgétaire. Mais la RGPP marque une nouvelle étape d’autant plus importante pour nous, qu’elle est appelée à modifier substantiellement le cadre de l’administration territoriale de l’Etat. Parmi les premières orientations présentées fin 2007, il est envisagé de réduire le nombre des directions régionales en référence aux principaux départements ministériels. A l’échelon départemental, les transformations seront plus fondamentales puisque l’architecture actuelle des services, sera abandonnée au profit d’une organisation sous forme de missions.

Le contenu de la réforme n’est pas totalement arbitré. Les compétences des nouveaux services ne sont pas encore connues et dépendent largement de la future répartition des compétences avec le niveau régional. A l’évidence, cette situation suscite des interrogations sinon des inquiétudes.

C’est pourquoi, j’ai souhaité que cette lettre et celles qui suivront périodiquement, adressées aux agents de la fonction publique d’Etat servant en région Centre, leur précise en toute transparence l’impact concret de la RGPP dans notre région et contribue à lever autant que possible, toutes les ambiguïtés naissantes.

Aujourd’hui, il me parait important d’insister sur trois points :

- il n’existe pas d’alternative à la réforme. Si nos services ne se restructurent pas, l’Etat local n’aura plus demain la capacité de fonctionner correctement ;

- les nouvelles directions de mission créées dans les départements ne sauraient être assimilées à des bureaux de la préfecture mais seront des services dont la responsabilité pourra être confiée aussi bien à des membres du corps préfectoral qu’à d’autres cadres supérieurs de l’Etat ;

- quelles que soient les modalités de la réforme, les garanties statutaires des agents seront préservées.

Ce premier numéro fait le point sur le contenu des premières annonces de la RGPP. Je souhaite que cette lettre puisse informer tous ceux qui, acteurs de la réforme contribueront par leur engagement à son succès.


L
e Préfet de la région Centre et du Loiret

Jean-MichelBERARD

 

L’Etat en région Centre : les chiffres-clés

81300 fonctionnaires d’Etat

5,6 milliards d’euros de dépenses de l’Etat versées en région Centre (budget général)

2,9 milliards d’euros de dépenses de personnel

417 millions d’euros de dépenses de fonctionnement

352 millions d’euros de dépenses d’investissement

Source : Trésorerie Générale de la région Centre - Année 2006

 

Des mesures immédiates ou presque:l’adoption d’un budget pluriannuel couvrant la période 2009-2011,

la réduction de moitié du nombre des administrations centrales,

D

L’échelon régional deviendra le niveau de pilotage local des politiques de l’Etat:

L’échelon départemental connaîtra également des évolutions importantes. L’architecture actuelle des services qui correspond à l’ancien découpage des ministères sera adaptée. Il est prévu de changer de logique et de réorganiser l’action de l’Etat dans les départements autour de cinq ou six grandes missions. DDAF et des DDE. Cette mesure a été confirmée par circulaire du Premier ministre en date du 23 janvier 2008.

A ce titre, il est d’ores et déjà prévu de généraliser la fusion des

Il a été également précisé que les Préfets de département seront placés sous l’autorité hiérarchique des Préfets de région pour la conduite des politiques publiques. Le Préfet de département reste le détenteur de la prérogative de puissance publique dans son département.

En REGION CENTRE : 
création expérimentale de centres unifiés des impôts pour les particuliers dans le Loiret: Les agents ont accès à partir de leurs postes de travail au nouveau site consacré à la fusion.Des réunions, régulièrement organisées avec l’ensemble des agents, sont aussi l’occasion d’évoquer la fusion et les expérimentations en cours.Une concertation étroite est menée parallèlement avec nos organisations syndicales.

Direction Départementale de l’Equipement et de l’Agriculture du Cher : A l’issue de cette première année d’existence de la DDEA, l’essentiel des outils de management et de pilotage est en place. La plupart des actions thématiques prévues ont été démarrées, certaines ont été réorientées compte tenu d’évolutions intervenues au cours de l’année, d’autres encore ont été ajoutées. Il convient donc de poursuivre les efforts engagés pour une mise en oeuvre et une appropriation partagées des politiques dont nous avons la charge.

Au niveau national, les équipes d’audit continuent actuellement leurs travaux sur l’examen de l’ensemble des politiques publiques. Ces travaux feront l’objet de nouveaux arbitrages et seront présentés lors d’un deuxième conseil de modernisation qui pourrait se tenir dans le courant du mois d’avril

 

http://www.centre.pref.gouv.fr/

http://www.rgpp.modernisation.gouv.fr/

. Il est prévu de réduire le nombre des directions régionales et délégations d’une trentaine à moins de 10.

e nouvelles simplifications administratives (comme par exemple la création d’un opérateur national de paye des agents de la fonction publique, la création d’une agence des achats de l’Etat).

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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 12:31

Une question a été posée pour connaitre le nombre d'entreprises en France 

En effet, sachant qu'il y a 15,55 millions d'abonnements à Internet haut débit en France, et un peu moins de 3 millions d'entreprises, ainsi que quelque 26 millions de foyers (pour 63 millions de français), il reste de la marge ...

La France comptait 15,55 millions d'abonnements à l'Internet à haut débit au 31 décembre 2007, soit une hausse annuelle de 22%. Mais le rhythme de croissance annuelle ralentit.

A la fin du quatrième trimestre 2007, le nombre d'abonnements à l'Internet haut débit a progressé de 22% par rapport à la même période de l'année précédente passant ainsi de 12,69 millions à 15,55 millions.

Ces chiffres publiés ce vendredi par l'Autorité de régulation des consultations électroniques et des postes (Arcep) indiquent que le rythme annuel de croissance continue de ralentir. Au quatrième trimestre 2006, celui-ci était de 34,4%.

Le haut débit via l'ADSL représente 95% des abonnements haut débit. Au quatrième trimestre, le nombre d'abonnements ADSL atteignaient 14,8 millions en hausse de 22% par rapport à la même période de l'année précédente. En revanche, ce chiffre n'augmente que de 5% comparé à celui du troisième trimestre 2007. 




Le nombre d'entreprises par taille et par région (source Insee - 2006)

Le nombre d'entreprises par taille et par région
Région
0 salarié
1 à 9
salariés
10 à 499
salariés

500 salariés
et plus

Total
Alsace
26 070
33 574
7 692
75
67 411
Aquitaine
72 726
65 616
10 558
59
148 959
Auvergne
29 006
25 596
4 493
28
59 123
Bourgogne
29 288
29 939
6 076
37
65 340
Bretagne
55 112
54 278
10 045
62
119 497
Centre
40 353
42 781
9 062
74
92 270
Champagne-Ardenne
20 916
22 467
4 974
36
48 393
Corse
9 812
8 666
920
1
19 399
Franche-Comté
18 664
20 297
4 221
19
43 201
Ile-de-France
351 698
255 422
54 911
643
662 674
Languedoc-Roussillon
64 600
55 836
7 105
29
127 570
Limousin
14 437
13 561
2 440
12
30 450
Lorraine
32 368
37 365
7 879
68
77 680
Midi-Pyrénées
65 966
56 302
9 380
57
131 705
Nord-Pas-de-Calais
52 189
56 211
13 061
112
121 573
Basse-Normandie
25 416
26 432
5 050
23
56 921
Haute-Normandie
27 169
28 251
6 556
59
62 035
Pays de la Loire
56 779
58 820
12 123
89
127 811
Picardie
26 721
26 884
6 612
59
60 276
Poitou-Charentes
31 788
31 781
5 891
35
69 495
Provence-Alpes-Côte d'Azur
148 418
117 675
16 922
91
283 106
Rhône-Alpes
139 997
126 850
25 882
156
292 885
Totaux France métropolitaine
1 339 493
1 194 604
231 853
1 824
2 767 774
Guadeloupe
28 607
10 417
1 373
-
40 397
Guyane
4 920
2 327
355
-
7 602
Martinique
16 022
8 856
1 145
1
26 024
Réunion
16 048
11 441
1 599
3
29 091
Totaux France entière
1 405 090
1 227 645
236 325
1 828
2 870 888
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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 12:15

A la suite de l'Allemagne et du Danemark, un lecteur assidu du blog nous envoie des éléments sur l'Italie, bon éléve de la classe Euro avec sa reduction de dette publique, et ce lien ... 

La bureaucratie italienne poursuit sa cure d'amaigrissement. Après avoir gelé les recrutements dans la fonction publique en 2007, le gouvernement de centre gauche de Romano Prodi prépare un budget 2008 qui prévoit de ne remplacer que deux fonctionnaires sur dix départs à la retraite. Seules des administrations comme la police et l'instruction publique échappent à la rigueur. Depuis la grande réforme de l'administration italienne, concrétisée entre 1997 et 1999 par les lois de Franco Bassanini, le ministre de la fonction publique de l'époque, l'Etat italien n'a cessé de réduire ses coûts.

"et bien avant, en Italie ! "

http://www.ifrap.org/0-ouvrirlesite/Enquete-Italiens-Francais.htm

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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 12:10
Le Monde

A
Gentofte, dans la banlieue de Copenhague, la maison de retraite communale aux briques rouges n'est plus très fraîche. Quinze employés y travaillent pour s'occuper de 46 retraités. Christina Frandsen y est employée depuis onze ans. "J'aime travailler avec les personnes âgées. Cela donne une bonne perspective sur la vie. Mais notre emploi est l'un des plus mal payés du Danemark", indique cette représentante syndicale de FAO, l'un des syndicats qui menace de faire grève s'il n'obtient pas 14,3 % d'augmentation sur trois ans. Dans son emploi, le salaire de base est de 17 500 couronnes (2 350 euros) par mois avant impôt. Aujourd'hui, Christina Frandsen gagne 20 000 couronnes (2 680 euros). "Pour le Danemark, c'est très peu, explique-t-elle. Ce n'est que quelques milliers de couronnes de plus que les gens qui touchent l'assurance sociale pour rester chez eux à ne rien faire. Ce n'est pas juste."

Mme Frandsen pourrait travailler dans une maison de retraite privée et toucher 400 euros supplémentaires. "Mais vous devez y faire beaucoup plus de choses, souligne-t-elle, ce qui ne vous laisse plus le temps de parler aux personnes âgées." Elle fait néanmoins quelques gardes de nuit certains week-ends dans des institutions privées pour améliorer ses fins de mois.

 

Après avoir claqué la porte des négociations dans la nuit de lundi à mardi, les syndicats danois d'employés territoriaux, qui représentent un demi-million de salariés (pour 5,5 millions d'habitants), envisagent de faire grève au printemps si le médiateur échoue. Lundi, les fonctionnaires de l'Etat ont obtenu une augmentation de 12,8 % de leurs revenus sur trois ans, dont 5,8 % la première année. Les différences de salaires entre public et privé (selon un syndicat, les rémunérations sont de 27 % inférieures dans le secteur public) avaient été l'un des principaux thèmes de la campagne des élections législatives, en novembre 2007. L'augmentation obtenue par les fonctionnaires de l'Etat est la plus forte depuis vingt ans ; les salaires des fonctionnaires des collectivités territoriales devraient normalement connaître la même hausse. Mais cette fois-ci, les syndicats ont tapé du poing sur la table. "Nous voulons au moins 1,5 % de plus que les fonctionnaires de l'Etat, explique Dennis Kristensen, président de FAO. Les salaires des fonctionnaires communaux et régionaux n'ont pas autant augmenté que ceux du secteur privé ces dix dernières années, à la différence des rémunérations des fonctionnaires d'Etat."

 

"QUAND LE PAYS S'ENRICHIT"

 

Ces requêtes inquiètent de nombreux économistes danois qui mettent en garde contre les risques de surchauffe alors que la situation de plein-emploi et le manque de main-d'oeuvre font planer une menace sur la croissance.

Dans un rapport qui vient d'être publié, l'OCDE explique qu'éviter la surchauffe et la spirale salariale est actuellement le plus gros défi de la politique économique du pays. "Mais l'économie danoise reste forte, écarte M. Kristensen. L'inflation est basse et le pouvoir d'achat a augmenté depuis cinq ans. Quand le pays s'enrichit, les fonctionnaires territoriaux veulent aussi profiter de ce développement et non pas rester à la traîne, c'est aussi un vrai problème."

Pour les syndicats, les fortes hausses de salaires sont d'autant plus justifiées que de gros défis planent sur le service public : "De grandes vagues de départs à la retraite sont prévues dans les années à venir et le Danemark manque actuellement de main-d'oeuvre. Si l'on veut que les gens viennent travailler dans les services communaux ou régionaux, il faut les attirer avec de bons salaires."

Olivier Truc
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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 10:50
On nous communique :

La Grande chancellerie de la Légion d’honneur recrute, par voie de détachement, pour la rentrée 2008, un principal adjoint de collège, personnel de direction titulaire ayant plusieurs années d’expérience, pour exercer les fonctions d’intendante générale de la Maison d’éducation de la Légion d’honneur des Loges à Saint- Germain-en-Laye (tél. 01 39 04 10 45).
Placée sous l’autorité de la surintendante des maisons d’éducation de la Légion d’honneur qui est également en charge de la direction de la maison d’éducation de la Légion d’honneur de Saint-Denis, l’intendante générale de la Maison d’éducation de la Légion d’honneur des Loges à Saint-Germain-en-Laye exercera ses fonctions à la tête d’un internat accueillant près de 500 jeunes filles de 10 à 15 ans, où est dispensé un enseignement de la classe de 6ème à la classe de 3ème et qui comporte des classes maîtrisiennes à tous les niveaux.
Un appartement de fonction dans l’établis sement est mis à la disposition du titulaire du poste.
Les renseignements utiles pourront être demandés auprès du secrétariat de la surintendante (tél. 01 48 13 13 31).
Les dossiers de candidature, comportant un curriculum vitae détaillé et une lettre de motivation, seront établis en deux exemplaires et adressés, dans un délai de trois semaines à compter de la date de publication à :
- M. Le Grand chancelier de la Légion d’honneur, 1, rue de Solférino, 75700 Paris 7 SP ;
- ministère de l’éducation nationale, direction de l’encadrement, bureau DE B2-3, 142, rue du Bac, 75007 Paris.
Les candidats solliciteront un entretien avec Mme Huguette Peirs, surintendante, avant d’être reçus, le cas échéant, par M. Luc Fons, secrétaire général de la Grande chancellerie de la Légion d’honneur (tél. 01 40 62 83 23).
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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 11:17

La liste a été publiée au J.O de ce jour :

I. ― Direction centrale de la sécurité publique : 405

1. Chefs de circonscription : 106 
2. Chefs d'unité technique ou opérationnelle ou adjoints au chef de service dans les directions départementales : 81
3. Chefs d'unité opérationnelle à la circonscription en qualité de chefs du service d'ordre public et de sécurité routière : 4
4. Chefs d'unité opérationnelle ou adjoints au chef de service à la circonscription : 176
5. Chefs d'unité technique ou opérationnelle ou adjoints au chef de service à la direction centrale : 15

6. Chefs d'unité technique ou opérationnelle, chargés de mission à disposition de la direction centrale : 20


II. - Direction centrale des renseignements généraux : 94

1. Chefs de groupe technique ou opérationnel à la direction centrale : 15
2. Chefs de groupe technique ou opérationnel chargés de mission à disposition de la direction centrale : 11
3. Chefs de groupe technique ou opérationnel implanté dans les zones de défense : 68

III. - Direction centrale de la police aux frontières : 51
1. Chefs de groupe technique ou opérationnel à la direction centrale : 9
2. Chefs de groupe technique ou opérationnel, chargés de mission à disposition de la direction centrale : 8
3. Chefs de groupe technique ou opérationnel dans les directions zonales : 8
4. Chefs de groupe technique ou opérationnel dans les directions départementales : 19
5. Chefs de groupe technique ou opérationnel aux aéroports : 7

IV. - Direction centrale de la police judiciaire : 126
1. Chefs de groupe technique ou opérationnel, chargés de mission à disposition de la direction centrale : 8
2. Chef de groupe technique ou opérationnel, chargé de mission à disposition du coordonnateur des GIR : 1
3. Chefs de groupe chargé du soutien et des activités opérationnelles à la direction centrale : 18
4. Chefs de groupe chargé de la coordination des missions opérationnelles à la direction centrale : 17
5. Chef d'un groupement d'intervention régional : 1
6. Chefs de groupe chargé du soutien et des activités opérationnelles dans les directions interrégionales : 11
7. Chefs de groupe chargé du soutien et des activités opérationnelles dans les directions régionales : 2
8. Chefs de groupe chargé de la coordination des missions opérationnelles dans les directions interrégionales : 58
9. Chefs de groupe chargé de la coordination des missions opérationnelles dans les directions régionales : 10

V. - Direction de la surveillance du territoire : 45
1. Chefs de groupe technique ou opérationnel en résidence aux services centraux : 26
2. Chefs de groupe technique ou opérationnel en résidence hors services centraux : 19

VI. - Services rattachés à la direction générale de la police nationale : 90
1. Chefs de groupe de liaison et documentation : 22
2. Chefs de groupe opérationnel : 28
3. Chefs de groupe technique : 40

VII. - Direction de la formation de la police nationale : 29
1. Chefs de groupe de liaison et documentation : 7
2. Chefs de groupe technique : 20
3. Responsables d'un service de formation : 2

VIII. - Préfecture de police : 179
1. Chefs de groupe de liaison et documentation au cabinet du préfet de police : 9
2. Chefs de groupe de liaison et documentation au secrétariat général de la zone de défense de Paris : 1
3. Chefs de groupe à la direction de la police judiciaire : 74
4. Chefs de groupe technique ou à la direction des renseignements généraux : 20
5. Chefs de groupe à l'inspection générale des services : 8
6. Chef de groupe opérationnel à la direction des services vétérinaires de Paris : 1
7. Chefs d'unité opérationnelle à la direction de la police urbaine de proximité : 49
8. Chefs d'unité opérationnelle à la direction de l'ordre public et de la circulation : 12
9. Adjoints aux chefs de services à la direction opérationnelle des services techniques et logistiques : 5

IX. - Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité : 46
1. Chefs de groupe technique ou opérationnel à la direction centrale des CRS : 7
2. Chefs de groupe technique ou opérationnel, chargés de mission à disposition de la direction centrale des CRS : 10
3. Chefs de groupe technique ou opérationnel, commandant de la CRS n° 1 à Vélizy : 1
4. Chef de groupe technique ou opérationnel, commandant du CNEAS à Chamonix : 1
5. Chefs de groupe technique ou opérationnel, commandants d'unité de service général à six sections : 2
6. Chefs de groupe technique ou opérationnel dans les directions zonales des CRS : 15
7. Chefs de délégation des CRS : 7
8. Adjoints au chef de délégation des CRS : 3

Les postes geographiques :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018359843&dateTexte=

 


La liste a été publiée au J.O de ce jour :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000018359843&dateTexte=

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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 09:49
Arrêté du 10 janvier 2008 fixant la liste des diplômes ouvrant accès aux concours sur titres organisés pour le recrutement des psychologues de la fonction publique hospitalière, 10/01/2008

JORF n°0016 du 19 janvier 2008 texte n° 35 NOR: SJSH0800854A

Sont exigés pour l'accès aux concours sur titres ouverts en application de l'article 3 (1°) du décret du 31 janvier 1991 susvisé pour le recrutement des psychologues de la fonction publique hospitalière les diplômes d'études supérieures spécialisées et les masters délivrés dans les domaines suivants :

1° Psychologie clinique ;

2° Psychologie pathologique ;

3° Psychologie de l'enfance et de l'adolescence ;

4° Psychologie gérontologique ;

5° Psychologie appliquée à la formation de formateurs d'adultes et de formateurs d'enfants ;

6° Psychologie des perturbations cognitives ;

7° Cliniques criminologiques ;

8° Psychologie de la personne déficiente : aspects neuropsychologiques et développementaux du fonctionnement cognitif ;

9° Conseil psychologique ;

10° Psychologie « groupes et institutions : approches cliniques et psychopathologiques » ;

11° Psychologie interculturelle.

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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 19:59

Le statut général de la Fonction publique pose le principe selon lequel les agents publics doivent consacrer l’intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées.

Depuis toujours, ce principe admet des dérogations, par exemple pour permettre à un fonctionnaire de dispenser une formation ou à un enseignant d’exercer une profession libérale découlant de la nature de ses fonctions.

Ce régime était défini en dernier lieu principalement par un décret loi du 29 octobre 1936. Il était devenu particulièrement complexe, obsolète et en définitive inégalement respecté.

La loi de modernisation de la fonction publique du 2 février 2007 et son décret d’application du 2 mai 2007 ont défini un nouveau régime que présente la circulaire, issue d’un important travail avec les ministères employeurs.

2. Que retenir de la circulaire ? Exemples concrets

a) la souplesse

Le principe posé par le statut général est réaffirmé : de façon générale, les activités en cause ne pourront avoir qu’un caractère accessoire. Le champ de ces activités est cependant élargi, tant dans la sphère publique que dans le secteur privé (la création ou la reprise d’une entreprise est désormais possible, par exemple).

Exemples de situations autorisées :

– un agent à temps plein peut dispenser deux heures de formation par semaine dans un organisme public ou privé ;

– un agent à temps plein peut aider à domicile un parent le lundi et le vendredi à partir de 18h30 et percevoir l’allocation personnalisée d’autonomie à ce titre ;

– un agent à temps partiel (80 %) qui exerce une activité de documentaliste dans une direction départementale de l’agriculture peut être employé le vendredi à l’office de tourisme de sa commune de résidence ;

– un agent à temps plein d’une commune peut réaliser pendant trois mois une mission de coordination au sein de la communauté de communes qui vient de se créer ;

– un agent à temps plein peut aider son conjoint artisan ou commerçant le week-end (sous le statut de conjoint collaborateur) ;

– le chef d’une petite entreprise qui choisit d’avoir une expérience dans l’administration peut conserver pendant un an son activité privée au lieu de devoir l’abandonner brusquement.

b) la responsabilité

Le nouveau régime repose sur une logique de confiance, laissant une large place à l’appréciation des situations concrètes au plan local. Les dispositifs complexes de plafonnement ou les restrictions liées au statut de l’agent ou de l’organisme employeur sont supprimées.

De façon générale, l’activité envisagée fera l’objet d’une autorisation par l’administration, qui s’assurera de sa compatibilité avec l’activité principale de service public de l’agent.

Une attention particulière est accordée aux exigences déontologiques qui s’imposent aux agents publics. Ainsi, certaines activités dans le secteur privé (comme la création d’une entreprise) ne sont possibles qu’après intervention de la commission de déontologie. Il s’agit d’éviter que des agents soient exposés à des tentations ou à des conflits d’intérêts.

Exemples de situations non autorisées :

– un agent public ne peut donner des consultations à un organisme qui se trouverait en concurrence avec l’administration (ex. : un bureau d’études techniques en aménagement urbain qui se situerait dans le ressort de la direction départementale de l’équipement où travaille l’agent) ;

– un inspecteur du permis de conduire ne peut dispenser une formation dans une auto-école qui préparerait des candidats appelés à passer cet examen devant cet inspecteur.

Le nouveau régime se veut ainsi équilibré, respectueux à la fois des aspirations nouvelles des agents et des besoins du service public. Il illustre le souci de mieux laisser s’exprimer les aspirations de fonctionnaires, de décloisonner les cultures administratives et de favoriser une meilleure connaissance réciproque du secteur public et du secteur privé.

Contacts presse :
Cabinet de M. Éric Woerth : Eva Quickert-Menzel, conseillère chargée de la communication et de la presse – Bénédicte Constans, chargée de mission – Tél. 01 53 18 42 96
Cabinet de M André Santini : Benjamin Vacarie, chargé de mission presse – Tél. 01 53 18 46 65

© Ministère du Budget, des comptes publics et de la fonction publique, 12/03/2008



http://www.fonction-publique.gouv.fr/IMG/circulaire_relative_cumuls_activites.pdf
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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 18:15

Question publiée au JO le :  13/11/2007  page :  7010 

Réponse publiée au JO le :  19/02/2008  page :  1453 

Date de changement d'attribution :  11/12/2007 

 

QUESTION : M. Nicolas Perruchot - Nouveau Centre - Loir-et-Cher - attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité sur la situation des fonctionnaires territoriaux dont la situation administrative relève des dispositions de l'article 97-1 du CGCT, et tout particulièrement de l'alinéa deuxième. Celui-ci est rédigé de la manière suivante : « La rémunération nette perçue par le fonctionnaire pris en charge est réduite du montant des rémunérations nettes perçues à titre de cumul d'activités... ». Ainsi, pour bénéficier d'une autorisation de cumul d'activité et de rémunération, seules sont autorisées les productions d'oeuvres scientifiques, littéraires et artistiques : Il n'y a dans ces cas-là pas lieu à demander d'autorisation, ni à rembourser les sommes perçues. En revanche, sont soumises à autorisation et déduction des sommes perçues les activités d'enseignement, d'expertise et de consultation et les activités publiques accessoires. Aussi la question qui se pose est de savoir si les articles écrits et les reportages photographiques effectués par un correspondant local de presse relèvent d'une activité publique accessoire envisagée ci-dessus. La mesure prévue par l'article 97-1 du statut de la FPT (le remboursement, en l'espèce, d'honoraires perçus), ne contribue pas à favoriser le maintien en activité du fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Cette disposition prive également les employeurs du concours d'une personne pouvant mettre ses compétences au service des associations locales, sociétés de presse locales qui sont des structures rencontrant souvent des difficultés de financement. Ainsi, il lui demande de lui faire part des mesures envisagées en faveur des fonctionnaires territoriaux dont la situation administrative relève des dispositions de l'alinéa deuxième de l'article 97-1 du CGCT, mesures qui permettraient aux correspondants locaux de presse de bénéficier de conditions analogues à celles dont bénéficient actuellement les Actionnaires auteurs d'œuvres scientifiques, littéraires et artistiques.

 

REPONSE : L'article 97 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale fixe les mesures applicables en matière de prise en charge des fonctionnaires momentanément privés d'emploi en raison d'une décharge de fonctions ou d'une suppression d'emploi. À l'issue d'un maintien en surnombre dans sa collectivité pendant un an, le fonctionnaire est pris en charge par le centre de gestion ou, s'il relève d'un cadre d'emplois mentionné à l'article 45 ou du grade d'ingénieur en chef, par le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT).

Le fonctionnaire, ainsi pris en charge, reçoit la rémunération correspondant à l'indice détenu dans son grade. Il s'agit d'un revenu de remplacement. Pendant ce temps, le centre de gestion ou le CNFPT ont la responsabilité de tout mettre en œuvre pour permettre à ce fonctionnaire de retrouver aussi rapidement que possible et dans les meilleures conditions un autre emploi dans la fonction publique territoriale. Pour ne pas réduire la motivation des agents à retrouver un poste opérationnel dans la fonction publique territoriale, la loi du 27 décembre 1994 a introduit à l'article 97 la disposition suivante : « La rémunération nette perçue par le fonctionnaire pris en charge est réduite du montant des rémunérations nettes perçues à titre de cumul d'activités. » Lors des débats parlementaires relatifs à la loi du 19 février 2007, un amendement du Sénat tendant à la suppression de cette disposition a été finalement écarté par l'Assemblée nationale. En effet, les députés ont craint que ce cumul de rémunérations n'ait pour effet de dissuader le fonctionnaire à retrouver rapidement un emploi au sein d'une collectivité territoriale. En effet, le cumul du revenu de remplacement et de la rémunération d'une activité extérieure pourrait, dans un certain nombre de cas, aboutir à créer une forme de situation établie de nature à atténuer la motivation de ceux qui en bénéficient à retrouver un emploi dans la fonction publique territoriale, un tel cumul pourrait donc aller à l'encontre de l'objectif recherché. Il n'est donc pas envisagé actuellement de modifier la loi sur ce point.

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16 mars 2008 7 16 /03 /mars /2008 20:19
Avis de concours sur titres pour le recrutement de psychologues

NOR: SJSH0805824V
 



Un concours sur titres est ouvert dans les centres hospitaliers de la région Midi-Pyrénées en application de l'article 3 du décret n° 91-129 du 31 janvier 1991 modifié portant statut particulier des psychologues de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 21 postes de psychologue vacants dans les établissements suivants :
2 postes au centre hospitalier du Val d'Ariège (Ariège) ;
1 poste au centre hospitalier Ariège Couserans (Ariège) ;
1 poste au centre hospitalier de Rodez (Aveyron) ;
1 poste à l'hôpital de Saint-Geniez-d'Olt (Aveyron) ;
4 postes au centre hospitalier universitaire de Toulouse (Haute-Garonne) ;
3 postes au centre hospitalier spécialisé Gérard Marchant (Haute-Garonne) ;
1 poste à l'hôpital local de Revel (Haute-Garonne) ;
5 postes au centre hospitalier de Lannemezan (Hautes-Pyrénées) ;
2 postes au centre hospitalier de Lavaur (Tarn) ;
1 poste à la maison de retraite de Montech (Tarn-et-Garonne).

Peuvent faire acte de candidature les personnes de nationalité française et les ressortissants de l'Union européenne titulaires :

1° De la licence et de la maîtrise en psychologie ou de la licence en psychologie obtenue conformément à la réglementation antérieure à l'application du décret n° 66-412 du 22 juin 1966 relatif à l'organisation des deux premiers cycles d'enseignement dans les facultés de lettres et sciences humaines, qui justifient, en outre, de l'obtention de l'un des diplômes d'études supérieures spécialisées délivrés dans les domaines suivants : psychologie clinique, psychologie pathologique, psychologie de l'enfance et de l'adolescence, psychologie gérontologique, psychologie appliquée à la formation d'adultes et de formateurs d'enfants ;

2° Ou de l'un des titres figurant sur une liste fixée par arrêté ministériel du 1er août 1996, paru au Journal officiel du 9 août 1996 relatif aux titres exigés pour l'accès aux concours sur titres de psychologue de la fonction publique hospitalière ;

3° Ou de diplômes étrangers reconnus équivalents aux diplômes mentionnés ci-dessous dans les conditions fixées par l'article 1er (2°) du décret n° 90-255 du 22 mars 1990 fixant la liste des diplômes permettant de faire usage professionnel du titre de psychologue, modifié par le décret n° 93-536 du 27 mars 1993 ;

4° Ou du diplôme de psychologie délivré par l'école des psychologues praticiens de l'institut catholique de Paris.

La limite d'âge est supprimée conformément aux dispositions législatives ou réglementaires en vigueur.

Les candidatures doivent être adressées, dans un délai d'un mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, par écrit, le cachet de la poste faisant foi à la direction régionale des affaires sanitaires et sociales de Midi-Pyrénées (service professions de santé), 10, chemin du Raisin, 31050 Toulouse Cedex 9, auprès de laquelle peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les date et lieu du concours ou par mail au dr31-formations-sanitaires ou sur notre site internet : midipy.sante.gouv.fr.

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