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Fédération des Fonctions Publiques-CGC

15-17, rue Beccaria

 – 75012 PARIS –

Métros :

Gare de Lyon/Faidherbe Chaligny/ Ledru Rollin 

Tél  :  01.44.70.65.90

Fax :  01.44.70.65.99

Mail : ufcfp.cgca twanadoo.fr

21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 11:28

"Période d'adaptation", "tâtonnement": la mise en place à la hâte des nouveaux horaires dans les écoles, avec semaine de quatre jours et heures de soutien scolaire, risque de connaître des ratés dans certaines communes, compte tenu des difficultés de la tâche.
Le ministre de l'Education Xavier Darcos ayant refusé le report d'un an que demandait l'Association des maires de France (AMF), les mairies n'ont eu que les deux mois d'été pour s'adapter, et parfois chambouler leur dispositif, en matière notamment de transport et de restauration.
"Beaucoup de collectivités ne sont pas complètement prêtes", reconnaît Pierre Yves Jardel, en charge des questions d'éducation à l'AMF.
Selon le maire d'Orbais l'Abbaye (Marne), ce n'est "pas par mauvaise volonté ou par choix politique", les maires étant en général plutôt favorables au soutien scolaire assuré par des enseignants. "Simplement elles n'ont pas eu le temps suffisant".
Pour Claude Gabillard, maire (PS) de Drefféac (Loire-Atlantique), 1.500 habitants, ce sont les petites communes rurales qui vont connaître le plus de difficultés.
"Si on veut mettre 30 minutes de soutien le midi, alors que les enfants ont une heure et demie pour manger, comment faire pour assurer un service à la carte?", interroge-t-il. "Des heures de soutien le mercredi matin? Ca voudrait dire un car pour quelques élèves seulement, ce qui a un coût supplémentaire, ou alors laisser les parents emmener leurs enfants à l'école?".
"C'est le flou artistique. Je ne sais comment on va s'organiser", renchérit Anne-Marie Pin, premier adjoint au maire (DVD) de Jaudignac-et-Loirac (Gironde). Elle aussi s'inquiète pour les transports scolaires car "tous les enfants ne vont pas avoir de soutien scolaire" et ne vont donc pas repartir à la même heure.
"Le transport scolaire, c'est un château de cartes. Dès qu'on bouge une carte, c'est tout l'édifice qui risque de s'effondrer", affirme M. Jardel.
Un vrai casse-tête. D'autant que les horaires de soutien peuvent varier d'une école à l'autre.
Ainsi à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne), où chaque école a décidé de son emploi du temps, "c'est la pagaille", affirme Maud Tallet, maire (PCF) de la ville et ancienne enseignante. La moitié des groupes scolaires feront 3 fois quarante minutes le midi, d'autres 4 fois 30 minutes, d'autres deux fois une heure, et certains n'ont pas choisi.
Outre la difficulté pour les parents, ces horaires à la carte vont compliquer considérablement l'organisation du travail des agents scolaires, chargés de la cantine ou du nettoyage des locaux après les classes et parfois nécessiter davantage de personnel, soulignent les maires.
Ces modifications auront forcément un coût pour les communes. M. Jardel l'estime à 20.000 euros pour les 350 enfants scolarisés dans la communauté de communes qu'il préside. "Il faudra s'en souvenir lorsqu'on fera le point sur la fiscalité locale".
Pour Danielle Casanova, adjointe au maire UMP de Marseille, "le soutien scolaire entre midi et 14H00 va entraîner l'augmentation du nombre d'enfants qui mangent à la cantine et donc des frais accrus pour la municipalité qui débourse entre 7 et 8 euros pour chaque repas".
Charges qui viendront s'ajouter à celles résultant du toujours controversé service minimum obligatoire en cas de grève des enseignants.
"C'est la première fois que je vois un Etat dire, quand le service public marche, c'est moi qui m'en occupe, mais quand il ne marche pas, ce sont les communes. Je vais demander à mon conseil s'il veut faire appliquer la loi et s'il ne le veut pas, je suis prêt à la désobéissance civique", tranche Pierre Vernot, maire (DVG) de Saint-Lambert-la-Potherie (2.380 habitants), près d'Angers
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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 23:36
Argentine : fonctionnaires et policiers se sont affrontés, bilan 20 blessés

Au moins vingt personnes ont été blessées  fin juillet 2008 dans des affrontements entre fonctionnaires et policiers dans la ville  argentine de Cordoba, en marge d'une manifestation. La mouveent visait à dénoncer  une baisse des pensions de retraites. Ces incidents ont eu lieu alors que l'Assemblée régionale de Cordoba  discutait d'une réforme du régime de retraites. Malgré l'opposition des manifestants, la réforme a été adoptée par les  parlementaires. (D'après agence)

Belgique :

Les pensions des fonctionnaires sont encore bien plus élevées que celles des autres travailleurs. En 2007, un pensionné touchait en moyenne 1.939 euros par mois, a répondu la ministre des Pensions, Marie Arena à une question parlementaire. La pension moyenne des fonctionnaires fédéraux (1.854 euros) est notamment plus basse que celle des enseignants flamands (2.166 euros).

Suède :

http://www.ifrap.org/Le-systeme-suedois-de-retraites-par-points,0518.html

Allemagne :
http://www.sauvegarde-retraites.org/

"Réalistes, les Allemands osent loger à la même enseigne salariés du privé et fonctionnaires de l’Etat. .../...

A l’automne, un projet de loi sera déposé en Allemagne pour relever l’âge de la retraite des quelque 130 000 fonctionnaires de l’Etat fédéral et de quelques milliers de fonctionnaires encore présents dans les anciens monopoles tels La Poste, les Télécoms ou les Chemins de fer (Deutsche Bahn).  A l’instar de ce qui a déjà été décidé pour les salariés du privé, il passera de 65 à 67 ans sur une longue période de lissage, entre 2012 et 2029. A cette date, on ne touchera sa retraite à taux plein qu’à l’âge de 67 ans ou après 45 ans de cotisations. La fédération des fonctionnaires soutient le projet qui s’inscrit dans une réforme complète du statut du fonctionnaire qui devrait également être présentée au Parlement à l’automne. Concernant les fonctionnaires des régions (Länder) et communes – 1, 4 million de personnes – la tendance est également à l’alignement sur le secteur privé, même si chaque Land est seul compétent pour fixer l’âge de la retraite. "



 


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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 15:25

 

Les Fonctions Publiques-CGC prennent acte et se félicitent de l’ouverture au dialogue de Madame le Ministre de l’Intérieur, et de l’information diffusée, pour clarifier l’historique, la destination opérationnelle et l’utilité des fichiers de Police, regroupés sous l’acronyme EDVIGE.

 

La Défense des Droits Fondamentaux des citoyens, placée sous la haute autorité du Conseil d’Etat ainsi que de la CNIL, nécessite désormais une nouvelle rédaction du décret.

 

Vigilants, mais confiants, nous attendons la diffusion des textes réglementaires en question, rédigés différemment, afin que soit trouvée la solution d’adéquation entre les nécessités de la Sécurité Intérieure, l’efficacité des services concernés et les Libertés Publiques.

 

 

*******

 

Contact : Charles BONISSOL  01.55.30.13.41

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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 16:22
Le compte à rebours est lancé. Dans les deux ans qui viennent, Mayotte devrait devenir le 101e département français. Cette île de l'Océan indien, qui s'est détachée de l'archipel des Comores en faisant le choix de rester française lors du référendum sur l'indépendance de 1973, n'a cessé de vouloir renforcer ses liens avec la République. Le 18 avril, le conseil général de cette collectivité d'outre-mer a voté une motion demandant la départementalisation, comme l'y autorise la loi du 21 février 2007 sur l'outre-mer.

Le gouvernement s'étant engagé à tenir un référendum local dans les douze mois, la consultation devrait avoir lieu en avril 2009. Ensuite, l'Assemblée nationale et le Sénat se prononceront sur ce changement de statut. Chez les parlementaires métropolitains, la départementalisation de Mayotte ne fait plus débat. "Des promesses ont été faites aux Mahorais, constate le député (app. PS) René Dosière. Il n'est pas question de revenir dessus. S'il peut y avoir divergence, c'est sur le calendrier."

L'enjeu n'est pas mince. Devenir département français signifie pour Mayotte passer de l'article 74 de la Constitution, consacré aux collectivités d'outre-mer, à l'article 73, qui régit les DOM. Toutes les lois votées par le Parlement devront s'y appliquer. Or le décalage est grand entre la métropole et cette île, située à mi-chemin de Madagascar et du continent africain. Une délégation de sénateurs, dont le président (UMP) de la commission des lois, Jean-Jacques Hyest, doit se rendre à Mayotte du 1er au 6 septembre pour préparer cette délicate transition.

 

DROIT DU SOL

 

La principale préoccupation concerne l'immigration clandestine. Chaque année, des milliers de Comoriens, venus principalement de l'île d'Anjouan, risquent leurs vies sur des embarcations de fortune pour s'installer à Mayotte. Cinq mille femmes sans papiers viennent accoucher à la maternité de Mamoudzou, dans l'espoir que leur enfant devienne français à sa majorité. En 2007, 16 000 clandestins ont été arrêtés et reconduits aux Comores. La population de Mayotte (186 000 personnes) est constituée pour un tiers de Comoriens, dont 80 % en situation illégale. A terme, c'est toute la collectivité qui pourrait être déstabilisée. Déjà, le 17 mars, 2 000 Anjouanais s'en sont pris à la population d'origine européenne, faisant 200 blessés dont un grave.

Les habitants de Mayotte sont déjà dix fois plus riches que les Comoriens. Avec la départementalisation, l'écart va s'accroître, car l'île bénéficiera des minima sociaux, dont le RMI. Elle pourra également être éligible aux fonds européens.

Pour beaucoup de Mahorais, la départementalisation est synonyme d'alignement sur la métropole en termes de prestations sociales. Ahmed Attoumani Douchina, président (UMP) du conseil général, nuance cette interprétation : "Les habitants de Mayotte sont d'abord attachés à la France. Ils sont pragmatiques et savent bien qu'ils ne pourront pas obtenir tout, tout de suite." Nicolas Sarkozy a déjà prévenu qu'il souhaitait une départementalisation "progressive et adaptée". L'idée est de faire comprendre aux Mahorais que ce changement de statut comporte des droits, mais aussi des devoirs. "Dans les mois qui vont précéder le référendum, nous ferons une campagne neutre et transparente pour bien leur signifier ce que le statut de département implique", précise Yves Jégo, secrétaire d'Etat à l'outre-mer.

En 2006, pour limiter l'attractivité de l'archipel, François Baroin, alors ministre de l'outre-mer, avait fait sensation en réclamant la suppression du droit du sol. Son successeur, Christian Estrosi, avait pris une position identique. Yves Jégo a une autre approche. "Revenir au droit du sang n'est pas un préalable, a-t-il répété à Mayotte et aux Comores, les 15 et 16 mai. Le débat idéologique et moral qu'il soulève est trop lourd. Il vaut mieux essayer de tarir les flux et cela passe par un dialogue nouveau avec les Comores."

Afin de freiner les flux d'immigration clandestine, le gouvernement parie sur la relance de la coopération avec l'Union des Comores, qui n'a jamais accepté que Mayotte devienne française. Parmi les projets à l'étude figurent la restructuration et la modernisation d'une maternité sur l'île d'Anjouan ainsi qu'un plan de modernisation de l'agriculture comorienne. Le secrétaire d'Etat à l'outre-mer souhaite aussi l'instauration de visas de court séjour, permettant aux Comoriens de se rendre plus facilement dans l'île française. "Il s'agit de fluidifier la circulation des personnes et d'empêcher qu'elles se fixent à Mayotte", explique Yves Jégo. Le gouvernement a également débloqué 88 millions d'euros pour la coopération avec les Comores.

Cela suffira-t-il ? Le danger de voir l'immigration clandestine progresser est d'autant plus inquiétant qu'en matière d'état civil le retard est grand. Jusqu'à une période récente, les Mahorais n'avaient pas de noms de famille. Ils ont dû s'en choisir un. L'état civil tenu par les maires n'est venu remplacer que récemment les actes de naissance ou de mariage effectués par les cadis, ou juges musulmans. Dans les mairies, les registres sont souvent en mauvais état. Une commission de révision de l'état civil (CREC) a été mise en place en 2001 afin de reconstituer les actes manquants. Elle n'a instruit que quelques milliers de dossiers. La moitié de la population serait encore sans état civil fiable. "Aujourd'hui, on ne sait pas qui est qui, s'alarme René Dosière. Si l'on ne donne pas à chacun un état civil, ce sera ingérable."

Xavier Ternisien
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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 14:07

C
ette fois, les discussions vont prendre un tour tout à fait officiel. Henri Martini, secrétaire général de l'UNSA-Police, premier syndicat des gardiens et gradés, particulièrement implanté chez les CRS, a reçu le 8 septembre le mandat de son bureau pour discuter d'un éventuel rapprochement avec le Syndicat général de la police, SGP-FO, troisième sur l'échiquier syndical policier. Cette fusion, si elle se confirme, donnerait naissance à un nouvel ensemble face à des syndicats, Alliance et Synergie Officiers, réputés proches de Nicolas Sarkozy.

De son côté, l'UNSA-Police est considéré plutôt proche du PS. Bloc contre bloc, donc.
Le rapprochement entre l'UNSA-Police et SGP-FO est dicté par la recomposition, plus vaste, du paysage syndical en raison de la réforme de la représentativité. L'UNSA et la CGC, maison mère d'Alliance et de Synergie, ont entamé des pourparlers pour unir leurs forces. Une situation qui aboutirait, de facto, à réunir dans le même giron les frères ennemis UNSA-Police et Alliance. Inconcevable pour les premiers dont le conseil national a voté à l'unanimité moins deux voix, le 12 juin, contre ce projet.

 

A un an des élections professionnelles, l'UNSA-Police préfère prendre les devants et organise un congrès extraordinaire avant la fin de l'année 2008. "On ne peut pas nous marier contre notre gré, lance M. Martini. Depuis le début, Alliance est notre adversaire. Il a toujours prôné le travail au mérite, on est contre ; il est pour une police répressive, nous, pour une police de proximité." A tel point qu'un responsable de l'UNSA-Police a récemment désigné Alliance comme le "syndicat de Papon"...

"On est moins sectaires", ironise Jean-Claude Delage. "On appellera nos militants et ceux de l'UNSA au rapprochement", poursuit le secrétaire général d'Alliance, qui espère bien récupérer une partie des adhérents du camp d'en face.

Dans son mensuel de septembre, l'UNSA-Police affiche clairement la couleur. Sur deux pages, Francis Masanet, secrétaire général adjoint, et Jean-Claude Hoang-Phu, secrétaire national, dénoncent le rapprochement des deux centrales UNSA et CGC et "le rideau de fumée qui entoure les tractations en cours". "Tout ou presque sépare les deux organisations syndicales", écrivent-ils, en citant la réforme des retraites de 2003, alors approuvée par la CGG. "D'inspiration libérale, la CGC a sa logique. Elle n'a jamais été celle de l'UNSA et en aucun cas celle de l'UNSA-Police."

A trois reprises, les responsables de l'UNSA-Police et du SGP-FO se sont, à titre officieux, rencontrés depuis début septembre. Ces discussions sont exclusives pour l'UNSA-Police qui n'a approché aucune autre organisation : ni la CFDT, ni la CFTC, encore moins la CGT "qui n'est pas la tasse de thé des policiers", selon M. Martini. Il s'agit de "construire un syndicat policier d'avenir", précise Nicolas Comte, secrétaire général de SGP-FO, qui voudrait "un syndicat déconnecté des partis politiques car certains ont été trop impliqués dans la dernière campagne (présidentielle)".

Le rapprochement UNSA-Police SGP-FO ravive une autre histoire. En 1996, le SGP avait provoqué la dislocation de la puissante Fédération autonome des syndicats de police (FASP) dont il faisait partie. Deux ans plus tard, les principales organisations de la fédération parties de leur côté donnaient naissance... à l'UNSA-Police.

Isabelle Mandraud


LIRE ICI LA REPONSE DE JC DELAGE SECRETAIRE NATIONAL D'ALLIANCE/
http://www.alliancepn.fr/actions_sociales_police/manifestation_police/10_06_2008_
unite_syndicale/17_09_2008_courrier_unsa_article_lemonde.pdf



Et pour tout savoir sur l'intersyndical Police :  http://www.alliancepn.fr/
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17 septembre 2008 3 17 /09 /septembre /2008 21:16

Syndicat Indépendant des Commissaires de Police

59 rue de Clignancourt 75018 PARIS

 

Le Syndicat Indépendant des Commissaires de Police, comme l’ensemble de la parité syndicale, tous corps confondus, a découvert avec stupéfaction la parution du décret 2008-946 du 12 septembre 2008, portant statut particulierdu corps des officiers de gendarmerie.

Après les contre-vérités et le parti pris évident du rapport sur la parité globale Gendarmerie/Police qui nous avait fait nous interroger sur l’atonie flagrante de ceux qui ont en charge la police nationale, ce « véritable coup de Trafalgar » sonne comme une trahison chez les commissaires de police en particulier et les policiers en général.

Le SICP dénonce la consécration explicite , par ce texte, de l’ensemble du corps des officiers de gendarmerie en corps de conception et de direction, au mépris, des règles d’équivalence de grade pourtant posées par l’administration pour examiner le processus de parité globale police/gendarmerie.

Demain, il faudra, si ce texte n’est pas abrogé, se poser la question du positionnement des commissaires, des officiers ou des membres du corps d’encadrement et d’application face aux gendarmes.

S’interrogeant sur une certaine forme de complicité, active ou passive, des principaux responsables administratifs comme politiques du Ministère de l’Intérieur dans cette affaire, le SICP n’est dupe de rien et ne peut raisonnablement se satisfaire d’un discours officiel qui tendrait à laisser croire qu’un tel texte ait été pris en catimini au sein de quelques cercles militaires alors même qu’il a été examiné en Conseil d’Etat.

Face à un tel mépris de l’institution policière, nous appelons l’ensemble des organisations syndicales représentatives des différents corps actifs de la police nationale à condamner sans réserve ces tentatives d’OPA de la Gendarmerie sur le Ministère de l’Intérieur.

Le Bureau National

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17 septembre 2008 3 17 /09 /septembre /2008 10:14
Avis relatif à un recrutement de travailleurs handicapés par la voie contractuelle pouvant déboucher sur une titularisation en catégories A, B et C

NOR: MAEA0821536V

Un recrutement de personnes en situation de handicap est prévu au titre de l'année 2009.
Le nombre total de places offertes au recrutement est fixé à 15.

Ces places sont réparties de la manière suivante :

― catégorie A (secrétaire des affaires étrangères ou attaché des systèmes d'information et de communication) : 3 ;
― catégorie B (secrétaire de chancellerie ou secrétaire des systèmes d'information et de communication) : 5 ;
― catégorie C (adjoint administratif de chancellerie ou adjoint technique de chancellerie) : 7.


CATÉGORIE

NIVEAU DE DIPLÔME
requis

DATE LIMITE
de réception
des dossiers
de candidature

ÉPREUVES
de mise en situation
(toutes catégories)

COMMISSION
de recrutement

PRISE DE FONCTIONS
des personnes
recrutées

A
 
Bac + 3
(+ maîtrise
de deux langues
étrangères)

18 février 2009

29 septembre
ou 30 octobre
ou 18 décembre
2008

25 mars 2009

Avril à mai 2009
ou 26 février
2009

 

B

Bac
(+ maîtrise
d'une langue étrangère)

9 mars 2009

 

7 avril 2009

Avril à juin 2009

C

Adjoint
administratif

Pas de
diplôme requis

12 janvier 2009

 

11 et 12 février 2009

Février à avril 2009

 

Adjoint
technique

CAP, BEP

 

 

 

 


Les candidats devront adresser leur dossier au ministère des affaires étrangères et européennes, direction des ressources humaines (bureau RH1B), 23, rue La Pérouse, 75775 Paris Cedex 16.

Ce dossier comprendra :
― une lettre de motivation précisant la catégorie d'emploi (A, B, ou C) et le corps visés, ainsi que les contraintes (dates, matériel, tiers temps) à prendre en compte pour les épreuves de mise en situation ;
― un curriculum vitae précisant adresses postale et électronique et numéros de téléphone fixe et portable ;
― un justificatif de la reconnaissance du handicap (conformément à l'article L. 5212-13 du code du travail, selon le cas : attestation CDAPH ou COTOREP, justificatif du versement d'une rente accident du travail ou maladie professionnelle pour une incapacité permanente au moins égale à 10 %, justificatif d'une pension d'invalidité correspondant à une réduction d'au moins deux tiers de la capacité de travail ou de gain, justificatif d'une pension militaire d'invalidité, justificatif d'une allocation ou d'une rente d'invalidité attribuée dans les conditions définies par la loi n° 91-1389 du 31 décembre 1991 relative aux sapeurs-pompiers volontaires, copie de la carte d'invalidité définie à l'article L. 241-3 du code de l'action sociale et des familles, justificatif du versement de l'allocation aux adultes handicapés) ;
― la copie du diplôme le plus élevé.
Conditions d'inscription :
Les candidats doivent remplir les conditions générales d'accès aux emplois publics (nationalité, droits civiques, casier judiciaire, service national, aptitude physique) :
― ils doivent être de nationalité française ou ressortissant d'un des Etats membres de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen ;
― ils devront être en mesure de produire, à la demande de l'administration, un certificat d'aptitude établi par un médecin agréé, en vue de leur recrutement pour le cas où ils auraient été sélectionnés.

La procédure n'est pas ouverte aux personnes ayant déjà la qualité de fonctionnaire.


Procédure de sélection et de recrutement :
Les candidats dont la candidature sera retenue à l'issue de l'examen des dossiers seront convoqués à une épreuve de mise en situation professionnelle à l'une des dates figurant dans le tableau ci-dessus, puis, suivant le résultat de cette évaluation, à un entretien de présélection. Ceux dont la candidature aura été retenue à l'issue de l'entretien seront à nouveau convoqués pour un entretien avec la commission de recrutement qui siègera aux dates annoncées. Pour une bonne réception des différentes convocations, les candidats veilleront à tenir l'administration informée de tout changement d'adresse postale, de courrier électronique et de numéro de téléphone (fixe et portable).

A l'issue de la procédure de sélection, la commission établit la liste des candidats admis ou placés sur une liste complémentaire. Les candidats recrutés bénéficient d'un contrat de droit public d'un an, à l'issue duquel une commission les auditionne et se prononce sur leur aptitude professionnelle. S'ils sont déclarés aptes, ils sont titularisés après avis de la commission administrative paritaire du corps concerné. Dans le cas contraire, ou bien leur contrat peut être renouvelé pour une durée maximum d'un an avant un nouvel examen par la commission, ou bien le contrat n'est pas renouvelé.

Les agents recrutés seront affectés à Paris ou à Nantes et pourront par la suite recevoir des affectations à l'étranger.

Pour plus de renseignements : www.diplomatie.gouv.fr, rubriques : « emplois », « travailleurs handicapés », ou bureau d'accueil de la direction des ressources humaines : info.drh@diplomatie.gouv.fr ou téléphone : 01-43-17-77-77.
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17 septembre 2008 3 17 /09 /septembre /2008 10:11


M. Michel Guenneau, administrateur territorial, a été nommé conseiller technique pour la fonction publique territoriale et le statut des élus au cabinet du secrétaire d'Etat.
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16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 11:10
L'emploi de directeur de l'Ecole française d'Extrême-Orient sera vacant à compter du 28 février 2009.
Les conditions de nomination dans cet emploi sont fixées par l'article 5 du décret n° 88-565 du 5 mai 1988 relatif au statut de cet établissement.

Les candidats doivent relever des disciplines correspondant aux missions de l'école et appartenir soit au corps des professeurs des universités, soit au corps des maîtres de conférences, soit à des catégories de personnels assimilés dans les conditions prévues à l'article 6 du décret du 16 janvier 1972 modifié.

Le mandat du directeur est de cinq ans ; ce mandat est renouvelable une fois.
Les candidats devront faire parvenir, sous pli recommandé, leur lettre de candidature et un curriculum vitae accompagné d'une notice des travaux à l'adresse suivante : ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, direction générale des ressources humaines (service des personnels enseignants de l'enseignement supérieur et de la recherche, sous-direction des études de gestion prévisionnelle, statutaires et des affaires communes, bureau des affaires communes, de la contractualisation et des études - DGRH A1-3), 32-34 rue de Châteaudun 75436 Paris Cedex 09.

Les candidatures devront parvenir à l'adresse ci-dessus dans un délai de trente jours (le cachet de la poste faisant foi) à compter de la date de publication de la présente déclaration de vacance au Journal officiel de la République française.

AVANT le 30 septembre 2008
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15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 21:13
JORF n°0181 du 5 août 2008 page
texte n° 66


AVIS
Avis de recrutement au tour extérieur de premiers conseillers et de conseillers de tribunal administratif et de cour administrative d'appel

NOR: JUSA0819212V



En application des dispositions des articles L. 233-3 et L. 233-4 du code de justice administrative, un recrutement au tour extérieur est organisé au titre de l'année 2008 à raison de cinq postes de conseiller et de cinq postes de premier conseiller.
Les conseillers et les premiers conseillers exercent, au sein des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, des fonctions juridictionnelles de conseiller rapporteur ou de commissaire du Gouvernement. Ils peuvent également exercer des fonctions administratives dans les conditions définies notamment par l'article R. 237-1 du code de justice administrative. Leurs tâches requièrent une formation juridique et une expérience professionnelle confirmée ainsi qu'une entière disponibilité.
Le présent tour extérieur ne doit pas être confondu avec le recrutement complémentaire organisé en application de l'article L. 233-6 du code de justice administrative.


Conditions requises des candidats


Peuvent être candidats :
Au grade de conseiller :
1° Les fonctionnaires civils ou militaires de l'Etat, les fonctionnaires de la fonction publique territoriale ou de la fonction publique hospitalière justifiant, au 31 décembre 2008, d'au moins dix ans de services publics effectifs dans un corps ou cadre d'emploi de catégorie A ou sur un emploi de catégorie A ou assimilé ;
2° Les magistrats de l'ordre judiciaire.
Le grade de conseiller comporte sept échelons, allant de l'indice nouveau majoré 379 à l'indice nouveau majoré 619 (indices bruts 427 à 750).
Au grade de premier conseiller, les fonctionnaires civils ou militaires de l'Etat, les fonctionnaires de la fonction publique territoriale ou hospitalière, sous réserve :
1° De justifier au 31 décembre 2008 de huit ans de services effectifs. Il est précisé que ces huit années sont décomptées à dater de la nomination en catégorie A et arrêtées au 31 décembre 2008. A cet égard, les services rendus en qualité de stagiaire en scolarité dans une école administrative, de contractuel, d'auxiliaire ainsi qu'au titre du service national ne sont pas pris en considération ;
2° D'avoir effectué ces huit années de services publics effectifs dans un ou plusieurs corps désignés ci-après :
― fonctionnaires de l'un des corps recrutés par la voie de l'Ecole nationale d'administration ;
― fonctionnaires d'un autre corps de catégorie A ou cadre d'emplois de même niveau, titulaires de l'un des diplômes exigés pour se présenter au concours externe d'entrée à l'Ecole nationale d'administration, ainsi que d'un grade terminant au moins à l'indice brut 821 et classés à un échelon doté d'un indice brut au moins égal à celui du premier échelon du grade de premier conseiller (soit 750) ;
― magistrats de l'ordre judiciaire ;
― professeurs et maîtres de conférence titulaires des universités ;
― administrateurs territoriaux ;
― personnels de direction des établissements de santé et autres établissements mentionnés aux 1°, 2° et 3° de l'article 2 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière ;
3° D'avoir satisfait à l'obligation statutaire de mobilité pour les membres des corps qui y sont soumis.
Le grade de premier conseiller comporte sept échelons allant de l'indice nouveau majoré 619 (indice brut 750) à la hors échelle B (HEB).


Dossier de candidature


Le dossier de candidature, composé par le candidat lui-même, est transmis par l'administration d'origine par la voie hiérarchique. Il doit comporter l'avis motivé et détaillé du supérieur hiérarchique ayant pouvoir de notation à l'égard du candidat.
Les candidats non retenus au titre des années antérieures, et qui souhaitent présenter une nouvelle demande au titre de cette année, devront remettre un dossier complet dans les conditions exposées dans le présent avis.
Il ne sera pas tenu compte des dossiers incomplets, présentés hors délais ou transmis en dehors de la voie hiérarchique.
Le dossier de candidature comprend impérativement les pièces suivantes :
1° Un formulaire d'inscription, dûment complété, qui sera accompagné de l'ensemble des pièces requises mentionnées en annexe dudit document.
Ce formulaire est disponible sur le site internet du Conseil d'Etat (www.conseil-etat.fr), rubrique « tribunaux et cours », « concours, stages, recrutements ». Il pourra également être demandé par courrier au Conseil d'Etat, service des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, à l'attention de M. Desplanches, tour extérieur 2008, 1, place du Palais-Royal, 75100 Paris Cedex 01 ;
2° Une note manuscrite dans laquelle le candidat expose les raisons qui l'incitent à postuler à un emploi dans le corps des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel.


Transmission du dossier de candidature et date de clôture des inscriptions


Les dossiers seront transmis par la voie hiérarchique et adressés au Conseil d'Etat, service des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, à l'attention de M. Desplanches, place du Palais-Royal, 75100 Paris Cedex 01, et porteront l'indication « Tour extérieur 2008 ».
La date de clôture des inscriptions est fixée au samedi 11 octobre 2008 inclus, terme de rigueur (le cachet de la poste faisant foi).


Procédure de sélection


La sélection des candidats aura lieu dans le courant du mois de décembre 2008. Conformément aux dispositions de l'article L. 232-1 du code de justice administrative, la sélection relève de la compétence du Conseil supérieur des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, présidé par le vice-président du Conseil d'Etat.
Les résultats de la sélection seront affichés au Conseil d'Etat et pourront être consultés sur le site internet du Conseil d'Etat (www.conseil-etat.fr), rubrique « tribunaux et cours », « concours, stages, recrutements ».
La publication des nominations intervient par la voie du Journal officiel, où est inséré le décret de nomination des candidats retenus sur proposition du Conseil supérieur des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel.
Ces derniers suivront pendant six mois un stage de formation au Conseil d'Etat à compter du 1er avril 2009, au cours duquel ils seront appelés à choisir leur affectation, en fonction de leur rang de classement, sur une liste de postes à pourvoir, déterminée en fonction des besoins du service. En outre, il est rappelé qu'ils devront fixer leur résidence dans le ressort de la juridiction où ils seront affectés, conformément aux dispositions de l'article L. 231-9 du code de justice administrative.
L'ensemble des textes régissant le présent tour extérieur est disponible sur le site internet du Conseil d'Etat (www.conseil-etat.fr), rubrique « tribunaux et cours », « concours, stages, recrutements ».

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