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Fédération des Fonctions Publiques-CGC

15-17, rue Beccaria

 – 75012 PARIS –

Métros :

Gare de Lyon/Faidherbe Chaligny/ Ledru Rollin 

Tél  :  01.44.70.65.90

Fax :  01.44.70.65.99

Mail : ufcfp.cgca twanadoo.fr

1 août 2007 3 01 /08 /août /2007 16:47

CONVENTION

 

Entre les FONCTIONS PUBLIQUES-CGC (UFCFP CGC)

 

Et le SYNDICAT NATIONAL DES DIRECTEURS GENERAUX DES COLLECTIVITES TERRITORIALES (SNDGCT)

          La Fédération des Fonctions Publiques-CGC (FP-CGC) et le Syndicat National des Directeurs Généraux des Collectivités Territoriales (SNDGCT) se sont réunis ce jour, afin de signer une convention de partenariat prévoyant un travail de réflexion commun sur tous les sujets touchant les agents de l’encadrement de la Fonction Publique Territoriale, ainsi que l’établissement de listes communes lors des élections aux commissions paritaires en 2008.  

 Ils sont convenus de se revoir, à la rentrée de septembre, pour formaliser et préciser les modes de fonctionnement et de collaboration, afin que l’encadrement de la Fonction Publique Territoriale soit pleinement pris en compte dans toutes les réflexions et négociations à venir. 

 

*********

 Contacts :        

 Stéphane Pintre (SNDGCT) 04.92.90.50.10

 Agnès LERAT (FPT-CGC)     01 60 91 31 90

 Charles Bonissol (FP-CGC)   06.73.18.48.17      

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30 juillet 2007 1 30 /07 /juillet /2007 18:41
Bulletin n°1
Il comporte l'ensemble des condamnations et des décisions portées au casier judiciaire (certaines de ces informations sont retirées après expiration de délais, amnisties, réhabilitations).

Le bulletin n°1 n'est remis qu'aux autorités judiciaires.
Bulletin n°2
Il comporte la plupart des condamnations figurant au bulletin n°1 à l'exception notamment des condamnations prononcées à l'encontre des mineurs, des décisions étrangères, des contraventions, et des condamnations avec sursis lorsque le délai d'épreuve a expiré.

Le bulletin n°2 est destiné à certaines autorités administratives et militaires pour des motifs précis : accès à un emploi public, obtention d'une distinction honorifique par exemple.
Bulletin n°3
Le bulletin n°3 ne comporte que les condamnations pour crime ou délit à un emprisonnement de plus de deux ans sans aucun sursis (ou dont le sursis a été entièrement révoqué), les peines d'emprisonnement inférieures à deux ans si la juridiction a ordonné leur mention au bulletin n°3.

Ce bulletin ne peut être remis qu'à l'intéressé lui-même, ou à son représentant légal.
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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 09:12

La principale disposition du texte prévoit la généralisation de l’autonomie à toutes les universités dans un délai de 5 ans suivant la publication de la loi.

Pour améliorer la « gouvernance » des universités, leurs conseils d’administrations seront divisés par 2 (30 personnes au lieu de 60) et s’ouvriront à davantage de personnalités extérieures (7 ou 8). L’autorité de ces conseils sera renforcée, notamment en matière de recrutements. Le président de l’université, choisi par les membres élus du Conseil d’administration pour un mandat de 4 ans renouvelable une fois, verra aussi son autorité renforcée et disposera notamment d’un droit de regard sur toutes les affectations.

Toutes les universités disposeront d’un "bloc de compétences" élargi en matière budgétaire et de gestion des ressources humaines (elles auront ainsi par exemple la possibilité de recruter des contractuels pour des tâches d’enseignement et de recherche). Les universités qui le demanderont auront la pleine propriété de leur patrimoine immobilier. Elles auront la possibilité de créer des fondations disposant des dispositifs fiscaux avantageux mis en place pour favoriser le mécénat culturel.

Les relations avec l’Etat seront réglées dans le cadre de contrats pluriannuels comportant un contrôle de légalité renforcé. Les diplômes devront conserver leur caractère national et les droits d’inscription resteront fixés par un arrêté ministériel.

Une orientation active des étudiants devra être mise en place avec une procédure de préinscription pour l’entrée en première année d’université, mais les étudiants resteront libres de s’inscrire dans l’établissement de leur choix.

http://www.senat.fr/leg/pjl06-367.html

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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 14:12
Internet a ses bons et mauvais côtés. En l'occurence, l'histoire que nous allons vous raconter commence bien pour finir mal. Le mail comme vecteur de solidarité, l'idée est belle... mais dépasse systématiquement ceux qui s'y risquent. La petite Noëlie (née le 15 octobre 2002), était atteinte d'une leucémie rare dite Leucémie Aiguë Mégacaryocytaire (L.A.M. 7), en termes moins techniques, un cancer du sang. Les parents à la recherche d'une greffe de moelle osseuse, seule technique suceptible de soigner leur petite fille, décident d'utiliser Internet et plus précisement le mail à partir de juin 2003, pour trouver un donneur compatible.

Malgré cet appel, le donneur ne fut pas trouvé et la petite Noëlie bénéficia d'une greffe grâce à du sang de cordon ombilical en provenance des Etats-Unis. Malheureusement, la petite fille mourut le 1er juin 2004.

Le site HoaxBuster.com (spécialisé dans la dénonciation de fausses rumeurs sur Internet) publia le même mois cet appel :
Nous sommes au regret de vous informer que la petite Noëlie est décédée le 1er juin. Plusieurs mois après la mise en ligne de notre article, la chaîne continue, malgré tout, de circuler. Par égard pour les parents de Noëlie, nous espérons que chacun saura agir avec discernement afin de respecter leur douleur...

Malgré cela, le mail des parents de Noelie, relayé par des milliers d'internautes, continuait de passer de boites en boites, à tel point que cette demande engorge les hopitaux concernés et les établissements français du don et qu'ils ne savent plus comment gérer cette histoire. Il est donc primordial de briser la chaîne !

Si vous recevez un email qui est envoyé soit par un médecin du CHU de Nantes, de Rennes, de Rouen ou d'Angers, soit par une personne de l'EFS de Bois Guillaume et qui vous demande d'aider la petite Noëlie (qui devient Aurélie ou Noémie selon les cas), ne relayez surtout pas cet appel.

Bien sûr, aucun CHU ne peut se permettre d'envoyer par email ce genre de demandes, encore moins l'EFS. Il s'agit donc bien d'un faux basé sur une histoire, hélas, vraie.

On ne peut pas imaginer les effets néfastes allant à l'encontre de son but initial provoquée par ce type de mail.

L'agence de la biomédecine alerte sur le danger de l'envoi un masse de tels messages :
"En effet, ils peuvent provoquer involontairement un afflux brutal d'appels téléphoniques ou de visiteurs vers les centres d'accueil. Ceux-ci n'y étant pas préparés, ils ne peuvent pas alors assurer une qualité d'accueil suffisante, voire même retarder la convocation en vue d'un prélèvement éventuel de donneurs déjà informés et dont le premier entretien médical a déjà été programmé."

L'EFS a d'ailleurs été contrainte de mettre en place une plate forme spéciale pour répondre au surcroit d'appels.

Merci donc de ne pas faire suivre ce message et surtout d'alerter les personnes qui continuent de transférer la chaîne sans en comprendre les enjeux qu'elles doivent impérativement s'informer avant de penser à bien faire.
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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 14:09

Le tribunal administratif de Paris a ordonné à l'Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP) d'accueillir un détenu malade de la maison d'arrêt de Fresnes, qui s'était heurté à un refus d'admission, a-t-on appris le 18 juin. Dans une décision du 13 juin, le tribunal a enjoint à l'AP-HP d'orienter M. E. vers une structure de soins adaptée à son état, dans un délai de deux mois". Ce détenu, âgé de 71 ans et incarcéré à Fresnes (Val-de-Marne), souffre de diabète, d'hypertension artérielle et de troubles divers liés à ses affections cardio-vasculaires.

Le tribunal d'application des peines de Créteil lui a accordé, le 7 février, une suspension de peine pour raisons médicales, en application de la loi du 4 mars 2002, dite "loi Kouchner" sur le droit des malades. Le détenu a néanmoins essuyé un refus d'admission de la part du groupe hospitalier du Havre. Il n'a d'autre part pas reçu de réponse à un recours hiérarchique déposé le 14 mars 2007 auprès de l'AP-HP.

Dans sa décision, le tribunal administratif a estimé "qu'en refusant de l'admettre dans un service adapté, l'AP-HP méconnaît l'obligation qui lui incombe de veiller à la continuité des soins assurés à M. E". Considérant que "l'état de santé (du détenu) est constitutif d'une situation d'urgence", le juge a enjoint à l'AP-HP de trouver "une structure de soins adaptée" pour celui-ci "dans un délai de deux mois". Cette décision intervient trois mois après une décision du Conseil d'Etat qui a, pour la première fois le 9 mars, rappelé le service hospitalier à ses obligations à l'égard des détenus malades qui bénéficient d'une suspension de peine mais restent en prison faute d'un lieu d'accueil à leur sortie.

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24 juillet 2007 2 24 /07 /juillet /2007 14:08
Le présent décret s'applique à tous les corps de fonctionnaires de l'Etat dotés d'un statut particulier, sauf disposition spéciale dudit statut prise après avis du Conseil supérieur de la fonction publique de l'Etat.
 
L'entretien - conduit par le supérieur hiérarchique direct - porte sur les résultats professionnels obtenus au regard d'objectifs préalablement et clairement assignés, ainsi que sur les conditions d'organisation et de fonctionnement du service dont il relève, sur ses besoins de formation compte tenu notamment, des missions qui lui sont imparties et sur ses perspectives d'évolution professionnelle en termes de carrière et de mobilité, il peut également porter sur la notation.
Un compte rendu est établi par le supérieur hiérarchique direct du fonctionnaire et communiqué à celui-ci : il le complète par ses observations sur la conduite de l'entretien, sur ses perspectives de carrière et de mobilité et sur ses besoins de formation. Ce compte rendu est signé par l'agent et versé à son dossier.
 
La fiche de notation porte sur l'appréciation générale, établie à partir de l'évaluation ;  la note est fixée selon les niveaux et les marges d'évolution prévus à l'article 6 du décret (Des arrêtés ministériels, pris dans les mêmes conditions, fixent également soit par échelon ou par grade au sein d'un même corps, soit par corps, soit par groupe de corps ou groupe de grades relevant de corps différents, les critères d'appréciation des agents, les niveaux de notes, les marges d'évolution des notes ainsi que les modalités d'harmonisation préalable des notations.).
 
Les fiches individuelles de notation sont communiquées aux intéressés par le chef de service. Les intéressés y portent, le cas échéant, des observations sur leur notation et sur leurs souhaits et aspirations professionnels et les retournent signées au chef de service.
 
Au vu de leur notation, il est attribué aux fonctionnaires, dans chaque corps, des réductions ou des majorations par rapport à l'ancienneté moyenne exigée par le statut du corps pour accéder d'un échelon à l'échelon supérieur .
 
Lorsque la notation est établie annuellement, il est réparti, entre les fonctionnaires appartenant à un même corps, un nombre de réductions de la durée moyenne des services requise pour accéder d'un échelon à l'échelon supérieur égal à autant de mois que 90 % de l'effectif des agents notés comptent d'unités ; les fonctionnaires ayant atteint l'échelon le plus élevé de leur classe ou de leur grade ne comptent pas dans cet effectif. S'ajoute à ce nombre de réductions celui des mois de majorations prévu à l'article 14.
La somme totale des réductions prévues à l'article 12 peut être fractionnée entre les grades du corps au prorata de l'effectif des agents notés appartenant à chacun de ces grades, les fonctionnaires mentionnés au 3o ci-dessous ne comptant pas dans cet effectif.

Les réductions sont réparties après avis de la commission administrative paritaire compétente entre les fonctionnaires les mieux notés du corps ou du grade considéré.
Lorsque la notation est établie annuellement, cette répartition est effectuée dans les conditions suivantes :
1o Les fonctionnaires dont la valeur professionnelle est distinguée par l'évolution maximale de la note qui leur a été attribuée bénéficient de réductions égales à trois mois, sous réserve des dispositions des statuts particuliers fixant des réductions dont le maximum annuel est, compte tenu de la durée moyenne des échelons, inférieur à trois mois. Le nombre total de fonctionnaires concernés s'élève à 20 % de l'effectif des agents notés, les fonctionnaires visés au 3o ci-dessous ne comptant pas dans cet effectif ;
2o Les autres fonctionnaires dont la valeur professionnelle est reconnue bénéficient d'une réduction d'un mois ;
3o Ne peuvent bénéficier des réductions les fonctionnaires ayant atteint l'échelon le plus élevé de leur classe ou de leur grade.
 
Des majorations de la durée de service requise pour accéder d'un échelon à un échelon supérieur peuvent, après avis de la commission administrative paritaire compétente, être appliquées aux fonctionnaires dont la valeur professionnelle est insuffisante. Lorsque la notation est établie annuellement, les majorations ne peuvent être inférieures à un mois, ni supérieures à trois mois
 
Le tableau d'avancement doit être arrêté le 15 décembre au plus tard de l'année précédant celle pour laquelle il est établi. Il dépend
 
1o Des notations attribuées à l'intéressé ;
2o Des propositions motivées formulées par les chefs de service ;
3o Et de l'évaluation de l'agent retracée par les comptes rendus d'évaluation.
Les commissions peuvent demander à entendre les intéressés. Les fonctionnaires sont inscrits au tableau par ordre de mérite. Les candidats dont le mérite est jugé égal sont départagés par l'ancienneté.
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23 juillet 2007 1 23 /07 /juillet /2007 14:07

Le cocontractant qu'avait choisi la personne publique reste seul responsable de toutes les obligations stipulées dans le contrat, même en cas de sous traitance ou subdélégation  (CE, section 31 mai 1958, Consorts Amoudruz, p. 301 ; 21 juin 2000, SARL Plage Chez Joseph, BJCP12/2000, p. 355).

La subdélégation s'inscrit ainsi dans le cadre de l'économie de la délégation de service public, qui porte sur une mission globale qui doit être assurée sous l'autorité et la responsabilité d'une seule et même personne sélectionnée après mise en concurrence.

Ces conditions concourent à prévenir les risques de détournement de procédure et à garantir, dans l'intérêt des usagers, le bon fonctionnement du service public délégué

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 13:53

Depuis le 11 mai 2007, le décret n° 2007-807 est paru et à partir de cette date, les associations peuvent accepter librement legs et libéralités entre vifs, l'autorité administrative gardant un droit d'opposition.

Les textes faisant référence à la tutelle administrative des libéralités sont en conséquence modifiés ou abrogés : il en est ainsi pour certaines dispositions des lois du 4 février 1901 sur la tutelle administrative des dons et legs, du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association et du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l'Etat, mais aussi de deux autres textes plus anciens, les lois du 2 janvier 1817 et du 24 mai 1825 qui concernent notamment les libéralités consenties aux congrégations.

En second lieu, l'ordonnance clarifie l'article 5 de la loi du 1er juillet 1901 qui impose de préciser les noms, professions, domiciles et nationalités des personnes chargées de l'administration ou de la direction des associations. Or, si le terme d'» administration » ne prête pas à ambiguïté, celui de « direction » donne lieu, dans la pratique à des difficultés d'interprétation : il est donc supprimé.

http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=INTA0752062D

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19 juillet 2007 4 19 /07 /juillet /2007 10:57
Le CHU de Toulouse arrive en tête de la onzième édition du "Palmarès des 50 meilleurs hôpitaux publics" de métropole, étudiés pour la qualité d'une quarantaine de spécialités médicales et chirurgicales, publié par l’hebdomadaire «le Point», le 21 juin. Suivent les CHU de Lille, Bordeaux, Montpellier, les hôpitaux universitaires de Strasbourg (5e), les CHU de Nantes, Tours, Clermont-Ferrand, Pitié-Salpétrière de Paris et Edouard-Herriot de Lyon (10e). Le centre hospitalier de La Roche-sur-Yon (Vendée) ferme le banc (50e). Mais cet établissement non universitaire ne démérite pas, avec une bonne note dans la lutte contre les infections nosocomiales (contractées à l'hôpital).
La version 2007 du Palmarès Le Point comprend 40 classements thématiques (chirurgie de l'œil (cataracte, myopie, strabisme) de cancers, des disques de la colonne vertébrale, cures de hernies abdominales, etc.) contre 32, l'an dernier. Le journal publie 30 de ces classements et met en ligne les 10 autres (opération des ligaments du genou, du pied des varices et chirurgie de cancers, etc.). Malgré ses difficultés (erreur de calibrage de doses) de radiothérapie neurochirurgicale en D, discipline hyperspécialisée non prise en compte dans ce palmarès 2007, le CHU de Rangueil (Toulouse) a été mis à l'honneur. "Les incidents d'un service ne sauraient remettre en question l'ensemble des soins dispensés par l'établissement hospitalier", estiment les auteurs de l'enquête. Ils "permettent d'attirer l'attention sur la sécurité insuffisante de la radiothérapie" et "la quasi-inexistence de l'évaluation officielle des soins dispensés en radiothérapie", notent-ils. Une étude nationale épidémiologique sur les dangers à l'hôpital a été menée en 2004. Ses résultats ont été publiés en décembre 2006. Les risques les plus fréquents, les plus graves et évitables sont ceux liés aux médicaments, aux techniques chirurgicales et aux infections nosocomiales.
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18 juillet 2007 3 18 /07 /juillet /2007 08:03
Les utilisateurs de Vista acceptant les conditions de l’EULA de Microsoft autorisent celle-ci à les espionner d’une multitude de façons.

Softpedia indique que plus de 20 fonctions dans Vista s’occupent activement de collecter des informations sur vos habitudes et les transmettent à une base centrale de Microsoft.

Il indique également qu’il existe 47 autres fonctionnalités et services de Vista qui récupèrent des données, mais ne les transmettent pas à Microsoft.
Microsoft se défend en disant qu’il n’identifie pas les utilisateurs de Vista lorsqu’il récupère les informations. Toutefois, Softpedia fait remarquer qu’il pourrait s’il le souhaitait.

source  theinquirer

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