Ayant pris connaissance par la presse de la volonté de suppression de 8700 postes de professeurs, le CNGA estime ce projet émanant du ministre du budget inopportun, pour le moins, après les répercussions sur l’Ecole des turbulences récentes ;
brutal parce que sans concertation alors qu’est prôné le dialogue social ;
contradictoire avec l’objectif fixé par
insultant car donnant en pâture à l’opinion les prétendus privilèges de certaines décharges statutaires (première chaire, classes préparatoires…) qui sont justifiées par la charge de travail…
Le CNGA demande instamment au gouvernement de reconsidérer les moyens d’améliorer l’équilibre budgétaire après analyse sérieuse des besoins et en concertation avec les partenaires sociaux.