Selon l'Inserm qui vient de rendre son rapport sur les suicides dans la Police Nationale, le risque de passage à l'acte dans la profession est supérieur de 36% à celui du reste de la population.
Ainsi que l'avait souligné le SSPO, l'utilisation de l'arme de service est pregnante et un groupe de travail est constitué pour étudier au plus près le phénomène.
Une cinquantaine de cas recensés, sans compter les autres, est officiellement dénombrée chaque année depuis 2005.
La sensibilisation de l'encadrement à ces problématiques, dont le déni est proportionnel à l'image forte et devant faire face, sera une des commissions créee les plus suivies par la base.
On se souvient qu'une vague de suicides avait sensiblement été mise en cause par Synergie Offieirs et Alliance, qui avait obtenu qu'un CHS spécifique se penche sur la question en 2008 : deux ans après, le problème reste important.